Evil Eye (#1)

Richard Sala me fait penser à David B. Non pas que leurs styles se ressemblent, non, non. Disons que ce sont tous les deux des auteurs formidables, toujours d’un très haut niveau, en particulier au niveau (formel) du dessin qui est toujours merveilleux, moins au niveau des scénarios qui laisse plus facilement à désirer mais … c’est quand même toujours un peu pareil, non ?
Comparez des histoires de Sala ou de David B. de 1995 et de 1998 et cherchez les différences ? Il n’y en a pas beaucoup ! David B. et son univers mythique et onirique (et asiatique ?), Sala et son univers de série B, avec de jolies héroïnes, des méchants de carnaval, des monstres, etc.

Autant ces deux auteurs peuvent se révéler enthousiasmants quand on les découvre, autant il m’est difficile de trouver qu’ils se renouvellent !
Il y a un point positif, au moins, avec eux, c’est assuré, pas de mauvaises surprises !

Avec tout ça, j’ai oublié de parler de la nouvelle histoire commencée par Sala. Alors, y’a plein de jolies filles, y’a un tueur qui surgit de l’ombre, y’a un mystère et un masque morbide …
Non, non, je dois me tromper, ça, c’est The Chuckling Whatsit ? Bin, non, c’est Evil Eye !
Qu’est-ce que je disais ?